Télérama Sortir

« Si l’acte photographique est vécu par lui comme une expérience poétique, le regard que le brésilien porte sur le monde et sur son pays n’en est pas moins concerné par ce qui s’y passe. On ressent devant ces photos des années 1968-1992 exposées au Bal aucune fascination pour la misère mais plutôt une attention à l’usure du temps et aux blessures, qui hantent son œuvre. »
Frédérique Chapuis, Télérama sortir, 14 octobre 2020

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