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« Et c’est une magnifique exposition qui s’ouvre cette rentrée, tout émaillée de cicatrices, de fissures, de regards perdus, sentiments obliques et géométries variables. […] Rio Branco va traverser des villes poreuses où hommes, femmes et lieux portent sur eux, sans rien pouvoir y faire, leurs failles comme leurs bosses apparentes. »
Jérémy Piette, Libération, 18 septembre 2020

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